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Karl-Anthony Towns veut se la jouer comme Kobe et Duncan : les Wolves vont devoir se mettre à gagner pour ne pas perdre leur perle

Source image : Sport business mag

Karl-Anthony Towns a regardé le Hall of Fame samedi soir. Et le pivot des Wolves veut désormais avoir une carrière à la Tim Duncan ou Kobe Bryant, une carrière sous un seul maillot.

Karl-Anthony Towns est un joueur extraordinaire. Drafté en première position en 2015 par Minnesota, le pivot multiplie les déceptions depuis cette fameuse cérémonie il y a 6 ans. Leader indiscutable du projet Wolves, c’est justement ce projet qui pose question. Il change de cap tous les 2 ans, et il est devient compliqué de suivre. Au début, il devait consister à monter une équipe de jeunes autour de Karl-Anthony Towns, Andrew Wiggins et Zach Lavine. Tout a été remis à 0 pour permettre à Jimmy Butler et coach Tom Thibodeau de faire leur arrivée dans le groupe. Résultat, une 8ème place décevante et une élimination au premier tour en 2018. Depuis, Jimmy Butler a fait ses valises et Minnesota végète de nouveau dans les profondeurs de la conférence Ouest.

13ème de la conférence Ouest cette saison avec 23 victoires pour 49 défaites, le projet du general manager Gerson Rosas ne marche toujours pas. Le trio D’Angelo Russell, Anthony Edwards, Karl-Anthony Towns a montré des choses intéressantes mais n’a presque pas joué ensemble. Et le reste de l’effectif est trop jeune. Entre Malik Beasley, Jarrett Culver ou Juancho Hernangomez, le coach Chris Finch ne sait pas quoi faire de son effectif. Sur le plan personnel, KAT a connu une année compliqué, perdant plusieurs proches à cause du COVID, et ne progressant pas sur le plan sportif. Régulièrement blessé, pas concerné en défense, trop discret en attaque, les progrès tardent à venir pour l’enfant prodige. Celui qu’on comparait à Tim Duncan en début de carrière doit maintenant montrer qu’il en a les capacités.

Faire une carrière à la Kobe Bryant ou à la Tim Duncan demande un alignement de planètes extraordinaire. Le bon joueur, avec la bonne mentalité, dans la bonne franchise. Sur ces 3 critères, seul celui de la mentalité semble être parfaitement respecté pour l’instant.

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