
NBA – Joan Beringer n’a commencé le basket qu’en 2021. À Las Vegas, il a déjà joué comme s’il avait grandi avec un ballon dans les mains. En quelques matchs de Summer League, le Français de 18 ans a fait lever des sourcils dans tout le circuit NBA. Et pas pour une faute technique mais pour son potentiel terrifiant.
Drafté en 17e position par les Timberwolves, Joan Beringer est peut-être la meilleure affaire de la cuvée 2025. Défensivement, il a planté le décor. Contres, explosivité, rebonds, tout y est. À tel point que 4 des 20 dirigeants et scouts interrogés par ESPN l’ont désigné comme le plus gros « steal » potentiel de la Draft. Juste derrière Carter Bryant. Pas mal pour un joueur qui découvrait encore les bases du jeu il y a 3 ans.
Joan Beringer has FIVE blocks in 8 minutes of playing time 😳🖐️ pic.twitter.com/Ysyix3uiYO
— NBA TV (@NBATV) July 10, 2025
Avec 6,8 points, 6,5 rebonds et 1,5 passe décisive en à peine 23 minutes par match à Las Vegas, Joan Beringer n’a pas juste rempli les feuilles de stats,il a capté l’attention. Au point qu’un GM de la Conférence Est s’emballe déjà.
“Il peut devenir un joueur du Top 5 de cette Draft.”
Son énergie débordante, sa verticalité impressionnante et son QI basket encore en chantier composent un cocktail qui intrigue et séduit.
Bon, et bah Joan Beringer aura marqué les esprits dès sa première mi-temps de Summer League. pic.twitter.com/TOlEtpH9Jw
— 50 Nuances 🇺🇸🏀 (@50NuancesDeNBA) July 10, 2025
À Minnesota, Joan Beringer va pouvoir se développer sans pression immédiate, dans l’ombre de Rudy Gobert. C’est la situation rêvée pour apprendre, se tromper et progresser. Son agressivité défensive lui coûte encore des fautes naïves. Mais c’est le revers logique d’un joueur qui ne demande qu’à exploser.
Trois ans après avoir touché un ballon pour la première fois, Joan Beringer s’apprête à défendre les cercles NBA. Si ça, ce n’est pas un scénario Netflix en préparation… ou une bande-annonce de draft NBA 2K. Passé de rookie du sport à potentiel steal de la Draft en un éclair, le Français débarque chez les Wolves avec une étiquette de projet à très haut plafond. Le genre de mec qui peut passer de « Qui ? » à « Comment on l’a laissé glisser au 17e choix ? » en une saison.
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