Indiana conforte sa place dans le top 4 : un Giannis Antetokounmpo inexistant dans le money-time, fait plonger son équipe !

Source photo : Naijalife Magazine

C’était un des gros chocs de la soirée et au final, il fut très décevant. Deux équipes en berne au niveau de la réussite, avec un 4ème quart-temps exécrable. 

Indiana espérait une défaite de Cleveland pour passer dans le top 3. S’il n’y a pas eu défaite chez la bande de Lebron, il y a eu victoire face à Milwaukee (92-89). Il va falloir s’armer de patience et continuer à bien jouer. Win hier mais elle ne fut pas fabuleuse, loin de là… 
Est-ce que vous avez ramené vos sacs à vomi ? On l’espère pour vous, tellement le 1er quart-temps fut affreux visuellement. Après ces 12 dernières minutes, ça commence à jouer au basket, avec un Eric Bledsoe (26 points) parfait quand il ne fait pas de grigris à 3 points. Il est bien aidé par Parker et Antetokounmpo, qui semble avoir laissé toutes ses forces à Milwaukee, après le choc face à Joel Embiid !

Dans le 3ème quart-temps, Indiana appuie sur l’accélérateur avec Bogdanovic qui prend feu derrière la ligne à 3 points. Indiana domine en délivrant un 19-5 qui s’avéra fatal. Fatal ? Bien sûr que non puisque nous parlons des Pacers, qui adorent se faire peur à chaque match ou presque. Ils dilapident à nouveau leur avance et ironiquement, les Bucks lâcheront aussi un 19-5, cette fois dans le dernier quart-temps. C’était le match des secondes couteaux car on ne verra ni Giannis, ni Vic prendre les choses en main. Alors qu’il y a un point d’écart à quelques secondes de la fin du match, les arbitres sifflent un entre deux. Indiana récupère la balle et Bogdanovic met deux lancers pour donner 3 points d’avance à son équipe. Giannis Antetokounmpo tentera d’égaliser, il rate son énième panier dans le 4ème quart-temps. Les Bucks ratent le coche.

Une vilaine victoire pour Indiana mais à ce moment de la saison, ce n’est pas vraiment grave. Il y a désormais 0.5 match d’écart entre les Cavs et les Pacers. Sans doute que les joueurs de Nate McMillan le savent…