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Goran Dragic connaît le monde de la free agency : « il y a beaucoup d’options »

Source photo : HoopsHype

En sortie de banc en saison régulière, titulaire pendant les playoffs, Goran Dragic est toujours un joueur qui performe quoi qu’il arrive. Même s’il arrive en fin de carrière, le meneur peut facilement prétendre à un bon rôle et à un bon contrat…toujours à Miami ?

Une semaine avant le début de la free agency, les joueurs (et leurs agents) commencent à faire savoir leur priorités. Et Goran Dragic en fait partie. Le meneur a discuté avec Shams de tout, dont son futur étant donné qu’il est agent-libre…et qu’il ne manquera probablement pas de propositions.  Clairement, il y a un intérêt mutuel entre le Heat et Goran Dragic, le slovène le dit lui-même. Le meneur veut rester à Miami…mais étudiera toutes les propositions

« Je sais que Miami souhaite me faire revenir. J’espère que nous pourrons terminer ce run pour le titre la saison prochaine, mais je sais qu’i y a une part de business. Il y a beaucoup d’options, nous verrons. Je suis ouvert à toutes les suggestions, et ensuite, nous verrons quelle est la meilleure possibilité pour moi et ma famille. Donc, oui Miami est en haut de la liste. » 

Le Heat part avec un gros avantage puisque Goran Dragic est installé à Miami depuis 2015, d’autant que sur le plan sportif, la franchise joue le titre, en ayant un rôle important. A priori, il semblerait qu’aucun élément ne puisse perturber un retour du meneur en Floride…à moins que Luka Doncic ne passe par là et recrute Goran Dragic à Dallas. C’est en tout cas ce qu’il se murmurait il y a quelques temps. D’autre part, on peut imaginer que le Heat lui propose un gros contrat sur un an, car la priorité de l’équipe se trouve en 2021 avec Giannis Antetokounmpo notamment. Pat Riley ne souhaite pas toucher à sa flexibilité salariale et de ce fait, on a du mal à voir Goran Dragic s’éloigner du Heat. 

La plus forte probabilité reste que Goran Dragic soit de retour à Miami pour une saison minimum, mais sait-on jamais. En effet, il ne faut jamais dire jamais en NBA, surtout en période de free agency, et le meneur le sait très bien.

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