Alors que la free agency ouvrait ses portes hier à minuit heure française, Evan Fournier de son côté était tranquillement en train de dormir à Tokyo avant d’affronter les Italiens en quart de finales des Jeux olympiques. S’il a signé avec les New York Knicks, il avait tout de même donné des indications bien précises à ses agents Bouna N’Diaye et Jeremy Medjana de chez Comsport.
Devoir gérer la free agency et les JO en même temps, ça n’a pas dû être de tout repos pour Evan Fournier. Il faut dire que le décalage horaire entre le Japon et les États-Unis n’ont pas forcément aidé bien au contraire. Ce dernier avait même déclaré que le jetlag dans ce sens (et non des States vers la France) était pour le moins difficile à vivre. En effet, lorsque la free agency à ouvert ses portes, l’arrière des bleus était tranquillement en train de dormir et ce dernier avait donné des indications très strictes à ses agents concernant le déroulement de cette période d’agent-libre.
« Pas d’appel au milieu de la nuit au Japon pour parler free agency ». A expliqué Tim Reynolds. « Il s’est levé ce matin, a vu les options qu’il avait, a passé un coup de fil à Tom Thibodeau et c’était fait. “Je suis content que ce soit fait.” A expliqué Fournier.
Evan Fournier gave his agent strict instructions: No middle-of-the-night calls in Japan to talk free agency. He woke up this morning here, was presented with options, called Tom Thibodeau and that was that. "I'm glad it's over," the newest New York Knick said.
— Tim Reynolds (@ByTimReynolds) August 3, 2021
Il faut dire que la priorité absolue d’Evan Fournier surtout à ce timing-là n’était autre que la France et les Jeux olympiques et on ne peut qu’approuver ce focus de l’arrière des Knicks à présent. De plus, outre le match remporté contre l’Italie, l’ancien du Magic va donc pouvoir exporter son talent dans le back-court des Knicks avec un certain Derrick Rose qui a signé cette nuit aussi pour 3 ans et 43 millions de dollars. Autant dire que New York risque d’être une équipe très intéressante à regarder l’an prochain et ça, Evan Fournier doit d’ores et déjà en rêver.
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