NBA – Heureusement que Tony Parker a joué en NBA car la réputation des meneurs de jeu français fait peine à voir. Tous les meneurs de jeu se font dégager un par un… Il faut se rendre à l’évidence, malheureusement ils n’ont pas le niveau NBA. La nouvelle génération est attendue de pied ferme.
Qu’il est dur d’être meneur de jeu en NBA pour les français. Il y a d’abord eu Frank Ntilikina mais le frenchy est aussi fragile que prime Gareth Bale. Dans ces conditions, difficile de construire dans la continuité. Il a récemment été coupé par les Hornets et désormais ce sont les Suns qui l’ont coupé. Par la suite, Killian Hayes a demandé à être transféré. Ne trouvant pas preneur, l’ancien numéro 7 des Pistons a fini par être coupé. La question est de savoir qui était le prochain ? Sans surprise, c’est au tour de Théo Maledon de prendre la porte et là aussi, ce n’est pas vraiment une surprise car l’ancien du Thunder ne jouait pas une seconde avec les Suns de Kevin Durant (4 matchs et 13 minutes en réalité). Quand on sait qu’il n’y avait aucun meneur pur dans la rotation, ça en dit long sur la situation dans laquelle il était. Quid pour ces différents joueurs ? Difficile de les voir en NBA actuellement et un retour en France ou en Europe est plus qu’envisageable. Surtout, Vincent Collet a sous-entendu que les joueurs qui ne jouaient pas d’ici cet été, ne joueront pas les jeux olympiques.
Le constat est terrible pour les joueurs français et non pas seulement les meneurs de jeu. S’imposer en NBA est compliqué et c’est pour cette saison qu’il faut être fier d’avoir des joueurs tels que Evan Fournier, Rudy Gobert ou Nicolas Batum, les seuls vrais français à s’être imposés sur le long terme. La carrière moyenne d’un joueur NBA est de moins de 5 ans, chose qu’on a tendance à oublier avec la surexposition des superstars.
Nouvelle superstar d’ESPN, l’histoire incroyable de Malika Andrews
L’incident d’une vie : Marcus Smart a failli se faire fumer par un gangster des Bloods
