Lonzo Ball a bien compris la différence entre la saison et la pré-saison. Chaque rencontre sera difficile mais débuter en pro face au meneur le plus bulldog de la ligue, ce n’était pas une mince affaire.
C’était annoncé dès sa draft. Avec le père ultra relou qu’avait Lonzo Ball, il était certain que tout le monde voudrait sa peau. Nous ne sommes qu’au premier match et les joueurs adverses se sont montrés durs avec Lonzo Ball. Ici on ne fait pas du rn’b, du show WWE, ici c’est le basket dur et parfois violent…
Jouer Patrick Beverley, c’est assez dur pour n’importe quel meneur, demandez donc à Russell Westbrook. Beverley et Ball, c’est un peu l’antithèse par excellence. D’un côté, on a le prodige de la NCAA, traité comme un petit prince. De l’autre côté on a un gars qui a joué en europe, qui a galéré training camp après training camp pour se faire une place en NBA. Alors quand Beverley rencontre Ball, ça devient vite explosif…
D’une part, il l’envoie au sol très tôt dans le match, il assume pleinement sa faute. Puis pendant toute la rencontre, il va faire la sangsue et ne jamais lâcher son vis à vis d’une semelle. Lonzo Ball finira atteint mentalement avec 3 petits points….
Lonzo Ball devra être fort mentalement. Ce n’est jamais facile d’arriver en NBA, surtout avec une étiquette sur le dos. Beverley est connu pour ses qualités défensives et mentales mais d’autres joueurs pourraient se trouver bien plus sournois…
Une grosse défaite avec tout ça, Lonzo Ball a dû mettre très longtemps à s’endormir. Mais c’est un rite obligé pour un joueur NBA. Tomber pour mieux se relever !
Beverley qui dit bienvenue en NBA à Lonzo Ball pic.twitter.com/FO1bZOJ7IU
— The Daily Dunk (@dailydunkfr) October 20, 2017