Bradley Beal porte les Wizards à Toronto : DeRozan, c’est de l’eau

Source photo : ESPN

Après la blessure de John Wall à l’épaule contre Cleveland, le meneur des Wizards ne jouait pas et c’est Bradley Beal qui se retrouvait franchise player d’un soir, et il a plutôt bien réussi.

Auteur de trois bons premiers matchs, les Wizards s’étaient emparés de la première place à l’Est, mais les sorciers ont ensuite un peu (beaucoup) trop parlé pour finalement s’effondrer contre les Lakers (double lol). Depuis ce match à Los Angeles, c’était seulement une victoire et trois défaites, mais Washington a réagi hier soir.

Sans John Wall, Bradley Beal était le go to guy des Wizards avec un match-up direct avec un certain DeMar DeRozan. Match remporté puisque le Wizard repart du Canada avec 38 pions 16/26 au tir tandis que l’arrière des Raptors a terminé le match à 26 points à 8/21 au tir. Une bonne attaque et une bonne défense de la part du futur all star.

Dans ce début de saison des Wizards, l’homme fort n’est pas John Wall, mais bien Bradley Beal avec presque 26 points de moyenne pendant que Jean Mur n’arrête pas de parler. Que ce soit en saison régulière ou en playoffs, le joueur des Wiz a encore une fois mangé DeMar DeRozan, et avec la pression du FP hier soir.

Il est toujours dur de jouer sans John Wall. Je savais qu’ils me mettraient en marche d’une manière ou d’une autre. Comme le mieux comme je pouvais j’ai dû obtenir quelques tirs et être aussi agressif que possible.

Si l’année dernière, il est passé à un statut d’être all star (Carmelo Anthony étant sélectionner devant lui), l’arrière des Wizards pourrait décrocher sa première sélection cette année. C’est probable que les Wizards restent dans le top 4 de la conférence Est d’ici là, et que Bradley Beal maintient son scoring aux alentours de 22 points de moyenne.

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Bradley Beal est-il en train de franchir un nouveau palier ? On ne sait pas, mais une chose est sur, c’est qu’il progression sur le terrain, mais aussi sur son physique avec moins de pépins physiques que lors de ses quatre premières années dans la ligue.