Bradley Beal en plein burnout sans John Wall : 28 points à 11/33 au shoot et des défaites illogiques…

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Les nerfs doivent être tendus chez Bradley Beal. Gagner à Portland et perdre à Brooklyn ? La vie commence à être dur sans John Wall.

Il n’y a pas de quoi s’alarmer pour les Wizards mais il peut y avoir beaucoup de regrets lors de ce mois de décembre. Ils restent actuellement sur deux défaites de suite, face à des équipes de bas tableau, à savoir les Clippers et les Nets. Ce sont des bonnes équipes sauf qu’elles ne jouent pas dans la même cour que les Wizards. Du moins en principe et actuellement, difficile de savoir où va l’équipe de Scott Brooks.
Bradley Beal a connu énormément de périodes ces derniers temps. Il a planté 51 points contre Portland après sa débâcle contre le Jazz et le voilà en train de douter et même ne montrer aucune émotion pendant le match. Sa feuille de statistiques montre un aveu d’impuissance : 28 points, 4 passes et 11/33 au shoot… Washington s’est même vu sifflé une règle des 5 secondes pour la balle d’égalisation que Bradley Beal avait converti… Si ça vous dit quelque chose c’est normal, puisque les Wizards s’étaient aussi vu refusé le shoot à la dernière seconde contre les Clippers. Foutue réalité.

Pas de bol pour les fans d’Okafor, puisqu’il ne jouera pas lors de ce match. Les Nets ont tapé fort et ont vraiment fait du mal à Bradley Beal, qui s’est retrouvé isolé de ses coéquipiers. Ces derniers n’ont pas tenu leur rang, excepté Kelly Oubre junior, comme d’habitude (12 points).
Brooklyn l’a joué collectif et après quelques ratés, Crabbe plante un shoot ultra important, lui qui finira à un terrible 3/14 à 3 points. Malgré un coup de flip sur la ligne des lancers, la victoire a été assurée, sous les yeux de D’Angelo Russell, qui doit être heureux de la victoire avec un bilan vraiment très honorable de 11 victoires et 15 défaites !
Les Wizards ne sont plus qu’à un match d’avoir un bilan à peine positif et il vaudrait mieux que John Wall se ramène, avant que le moral en prenne un coup.

Bradley Beal a encore beaucoup à apprendre et ça fait partie du métier. Le joueur est jeune et c’est comme ça qu’il deviendra un meilleur joueur.