Bradley Beal a éteint Tim Hardaway Jr : « Il y a eu un peu de trashtalking entre nous deux »

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Encore une fois, Bradley Beal a sauvé les meubles du côté des Wizards. Ils ont frôlé la correctionnelle puisque les sorciers ont été malmené par les Knicks toute la première mi temps.

Complètement à la rue durant la première mi temps, les Wizards ont compté jusqu’à 27 points de retard. Un retard pris à cause d’un certain Tim Hardaway Jr qui rentrait absolument tout dans les deux premiers actes avec 32 points à 11/13 au tir à la pause. Ensuite, Bradley Beal s’est révolté, Washington a suivi.

Porté par son arrière, littéralement en feu durant la première mi temps, les Knicks pensaient que le match était plié et qu’ils allaient dérouler en seconde mi temps. En face, Bradley Beal n’avait pas dit son dernier mot, et a porté une énième fois les Wizards avec 36 points à 14/22 au tir, 5 rebonds, 7 passes, 2 contres et 3 interceptions.

Pour revenir dans le match, l’arrière a utilisé une arme fatale : le trashtalk. En effet, il a rapidement parlé à Tim Hardaway Jr en disant à l’arrière qu’il n’allait plus rien faire du match. Cela a fonctionné puisque en seconde mi temps, le joueur des Knicks a été transparent avec seulement 5 points. Bien évidemment, c’est Bradley Beal qui a défendu sur lui. Après le match, il raconte.

Ça aurait pu devenir très moche si on n’avait pas réagi. Globalement, on en ressort du positif. C’était une bonne victoire pour nous. Je lui ai dit que j’allais l’éteindre. Il y a eu un peu de trash talking entre nous deux. Ça reste mon gars mais je lui ai dit qu’il ne marquerait plus du match et c’est ce qui s’est passé. 

C’est la sixième victoire en huit matchs pour les sorciers qui font enfin une bonne série, eux qui sont habitués aux montagnes russes depuis le début de la saison. Ils montent en puissance au meilleur des moments, en attendant le retour de John Wall. Cette année, les Wizards sont à prendre au sérieux, car Bradley Beal est régulier.

La régularité de Bradley Beal change tout pour les Wizards. L’arrière pose sans cesse des problèmes aux adversaires avec régulièrement des matchs à au moins 25 points.