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Alex Caruso : « Ce groupe a une joie qui les habite »… et c’est ce qui a propulsé OKC jusqu’au sommet

NBA – Alex Caruso dans une équipe de TikTokeurs ? On aurait parié sur une apparition dans Breaking Bad avant ça. Et pourtant, le vétéran au bandeau magique a trouvé sa place dans la joyeuse colonie du Thunder. Entre maturité, insouciance et sérénité contagieuse, Alex Caruso raconte pourquoi ce vestiaire a tout simplement été spécial. Et ce n’est pas qu’une question de défense.

Dans une meute de loups où le plus vieux a à peine la trentaine, Alex Caruso fait figure de vieux sage. Pas un daron relou, non. Plutôt le genre d’oncle cool qui arrive à la soirée avec une glacière et des anecdotes NBA. Son rôle ? Apporter calme, rigueur, et un soupçon de grinta en défense. Et ce vestiaire, il ne l’a pas subi, il l’a aimé. Une bande de jeunes qui danse, qui rigole, qui vit basket à 200 à l’heure. Pas besoin d’être le plus bruyant pour se faire une place.

“Ce groupe a une joie qui les habite. Ils ont une maturité unique qui vient avec un manque d’expérience qui est rare.” 

Voilà comment Alex Caruso résume le Thunder. Et ce n’est pas un compliment de politesse. Ce vestiaire, c’est un mélange improbable entre légèreté de rookie et discipline de contender. Un collectif qui s’accepte, s’écoute, se comprend. À OKC, pas besoin de surjouer. Être soi-même suffit pour briller. Et ce mindset, c’est peut-être ce qui a fait la différence dans les moments les plus chauds des Finales.

Alex Caruso l’a senti dès les premiers jours. Cette équipe était différente. Pas juste talentueuse, mais connectée. Ce lien humain, cette envie d’avancer ensemble, d’élever chacun par l’énergie collective, c’est ce qui a transformé un projet prometteur en champion NBA. OKC a dansé, défendu, shooté, crié ensemble. Et dans cette aventure, Alex Caruso a trouvé plus qu’un rôle. Il a trouvé une famille. Même s’il résiste encore aux TikToks.

Alex Caruso a gagné son deuxième titre mais avec du public cette fois. Mais surtout, il a regagné foi dans le pouvoir du collectif. À OKC, la joie n’était pas un mot creux. Elle était contagieuse, stratégique, déterminante. Comme quoi, parfois, entre une interception clutch et une danse virale, il n’y a qu’un pas. Et Carushow, lui, a su le faire sans perdre le groove.

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