
NBA – Tyrese Haliburton n’a pas seulement tué le Game 2 face aux Cavs, il a aussi offert une masterclass en conférence de presse. Un tir décisif, pleine ficelle, pour assassiner tout l’Ohio et une célébration électrique… En plus ? Des déclarations qui confirment ce qu’on pressentait déjà : le meneur des Pacers est entré dans une autre dimension. « Overrate that ! »
« Je suis en paix avec mon jeu. J’ai confiance en ces moments. Et j’ai une confiance totale en ma capacité à rentrer ces tirs. »
Après son game winner (encore un), Tyrese Haliburton est arrivé face aux journalistes avec le calme des grands. Il ne s’agissait pas juste d’un lucky shot. C’était la suite logique d’un joueur qui maîtrise ses émotions et son tempo. Il savait que le moment allait venir, qu’on allait avoir besoin de lui et il était prêt… bien bien prêt même !
L’image a déjà fait le tour des réseaux : Haliburton qui célèbre comme un fou, main en bas du short, en mode tueur, face à une foule glacée. Une célébration qui lui vaudra peut-être une amende, mais Tyrese attend cette dernière avec plaisir tellement le moment était jouissif pour lui.
Le clou du spectacle ? Sa réponse aux chants “Overrated” lancés par les fans de Cleveland pendant le match. On rappelle que en fin de saison régulière, Tyrese Haliburton a été élu joueur le plus surcoté de la ligue selon ses pairs. Une nouvelle qu’il a plutôt bien pris visiblement puisqu’il il a tout simplement un niveau MVP depuis. Un chant moqueur, donc, lorsque les Cavs était à +10 et qui s’est retourné contre eux… forcément. Même Donovan Mitchell savait que le karma allait frapper….
Simple, tranchant, iconique. Une réponse qui va sans doute faire le tour des réseaux et un shoot qui va rejoindre le panthéon des plus grandes actions en playoffs.
S’il fallait encore une preuve que le meneur des Pacers est fait pour les projecteurs et les grands moments, ce Game 2 vient de la livrer. Clutch, charismatique, et toujours avec un petit mot bien placé, Haliburton incarne cette nouvelle génération de joueurs qui brillent autant sur le terrain que derrière le micro. Et une chose est sûre : les fans de Cleveland ne chanteront plus de sitôt.
