En repos forcé après sa rupture du tendon d’Achille au début du mois de juin dernier, Kevin Durant a encore un peu de temps devant lui avant de retourner gambader sur les parquets de la NBA. Et en attendant ? KD voit les choses en grand, en prévoyant notamment un reportage… sur Stephon Marbury.
Stephon Marbury est une personnalité assez iconique en NBA. Pas forcément par le palmarès (tout de même double All-Star et 2 All-NBA Teams), mais par la personne, le talent et également par son parcours impressionnant en Chine. En fait, c’est l’un (le ?) des plus grands joueurs de la CBA, il a d’ailleurs une statue en son hommage devant le stade Olympique de Pékin, rien que ça ! Et la personne de Stephon, tant le joueur que l’humain, et également le fait qu’il soit de Brooklyn a tapé dans l’œil de KD.
« A Kid from Coney Island ». Le portrait de Marbury. Disponible dès le mois de mars, dans un nombre limité de cinémas. Avec Fat Joe, Stephen A. Smith, Cam’ron et Chauncy Billups. Le trailer a d’abord été l’exclu de PEOPLE avant d’être mis en ligne sur YouTube, suivi des commentaires des réalisateurs (Coodie Simmons et Chike Ozah, KD étant le producteur avec Rich Kleiman) dans un communiqué de presse.
« Le parcours de Stephon n’a pas été sans encombres, mais c’est la vraie vie. Il est aujourd’hui un ambassadeur culturel entre l’Asie et l’Amérique – et nous aimons le voir se relever et inspirer des millions de jeunes dans le monde entier ».
Et d’après Rich Kleiman, le parcours de Marbury, ce qu’il a vécu, ses hauts, ses bas, son passage par la Chine n’est pas assez mis en avant.
« Je pense que nous tous, en tant que spectateurs, voulons voir cette histoire de rédemption. Je ne pense pas que les gens aient vraiment compris à quel point il est tombé bas et quels sommets il a atteint. Ce qu’il a fait en Chine – à l’autre bout du monde – était incroyable et époustouflant. Je ne peux même pas imaginer une histoire pareille comme celle-ci dans un aucun sport. Aucun. »
Pour la plupart des gens, le passage en NBA de Stephon Murbary est positif, mais avec un goût d’inachevé. Suffisant pour écrire sa légende ? Oui, sans doute. Rendez-vous en mars ? Rendez-vous en mars.
https://youtu.be/ptZCNflb5SU