Première équipe à jouer après la tragique disparition de Kobe Bryant, les Rockets ont dû affronter le Jazz le lendemain sans Westbrook, Harden et Capela.
C’est une nouvelle fois dans une atmosphère pesante que les Rockets ont dû s’opposer au Jazz, dauphin des Lakers et en pleine forme à la Vivint Smart Arena de Salt Lake City. Sans ses trois cadres, la franchise Texane a pu compter sur un focus absolu de ses role players et d’un Eric Gordon déchaîné. Le 6ème homme de l’année 2017, a claqué son record en carrière avec 50 points et mené les siens vers une victoire 126 – 117 inattendue. Sans big-men et face à l’un des meilleurs de la ligue en la personne de Rudy Gobert, l’équipe de Mike D’Antoni a parfaitement contenu la franchise de l’Utah. L’ancien coach des Suns a même reconnu auprès du média américain The Athletic que ce match représentait même l’une des plus grandes satisfaction de sa carrière, rien que ça :
« C’était définitivement parfait. J’ai coaché un paquet d’équipes dans un paquets de matchs, et honnêtement c’était l’un des plus satisfaisants de ma carrière. Nos gars n’auraient pas pu jouer plus dur. Evidemment, on commet des erreurs dans un match, mes grosses actions après grosses actions, ça fait la différence. Ils sont revenus plusieurs fois, mais on a pas abdiqué. Eric Gordon était sur une autre planète. C’est une grande performance. »