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Les Suns ne veulent plus de Bradley Beal

NBA – Bradley Beal chez les Suns, c’est un peu comme un CD rayé qu’on a du mal à arrêter. On tourne en boucle sur le même problème, mais personne ne veut vraiment l’écouter. Pourtant, le nouvel entraîneur Jordan Ott a déjà tranché : Beal, c’est non. Sauf que voilà, le contrat est là, gros et bien coincé. Ça promet une belle galère sous le soleil d’Arizona.

Dès l’arrivée de Jordan Ott, le ton était clair. Bradley Beal n’a plus sa place dans le projet. Le coach veut construire autour de Devin Booker, avec un groupe soudé, sans zones d’ombre ou tensions inutiles. Or, Bradley Beal, avec ses 17 points de moyenne cette saison et son rôle relégué sur le banc depuis janvier, n’a jamais réussi à retrouver son impact ni son rôle de leader. Loin d’être un apport net, son temps de jeu et sa contribution ont fondu, et avec eux, la patience du staff. Ce n’est pas un problème d’effort, mais un vrai décalage avec la vision et le style que Jordan Ott veut instaurer.

Le vrai cauchemar, c’est que Bradley Beal n’est pas simplement un joueur dont on peut se séparer facilement. Sous contrat lourd pour plusieurs années, il détient aussi une clause de non-échange, qui lui donne un vrai pouvoir de veto sur les mouvements. Cela signifie que les Suns ne peuvent pas simplement le troquer contre un autre joueur ou des picks, ce qui complique sérieusement la donne. Le salaire de Bradley Beal pèse lourd dans la masse salariale. Avec un roster déjà chargé, il limite les marges de manœuvre de Phoenix. En parallèle, la question de Kevin Durant plane aussi. Lui aussi pourrait ne pas faire long feu avec ce nouveau projet.

Face à ce mur, la piste la plus sérieuse reste celle d’un buyout. Un accord à l’amiable entre les deux parties pour couper court au contrat. Cela permettrait à Phoenix de libérer de la place financièrement, tout en laissant Bradley Beal partir libre chercher une nouvelle aventure. Mais un buyout, ce n’est pas une formalité. Cela implique souvent que le joueur accepte de renoncer à une partie de son salaire et personne n’aime lâcher des millions sans se battre. Pour Bradley Beal, c’est un choix difficile. Partir avec un statut amoindri, dans une équipe moins ambitieuse, ou rester à Phoenix malgré l’incompatibilité. La négociation risque donc d’être longue et compliquée, entre ego et stratégie.

Bradley Beal, c’est un peu le cadeau empoisonné que les Suns tentent de refourguer sans ticket retour. Avec un coach fraîchement débarqué qui ne veut plus entendre parler de lui, et un contrat aussi lourd qu’une enclume, Phoenix se retrouve face à un vrai casse-tête. La suite promet d’être aussi tendue qu’un buzzer en playoffs de Finales NBA.

Zaccharie Risacher a beaucoup d’ambition « Les yeux dans le ciel, les pieds sur terre, on voit toujours plus haut »

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