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Leïla Lacan a encore la défaite de la finale des jeux olympiques de team USA dans la tête : « Elle n’est pas tout à fait digérée »

FIBA – 12 jours après la défaite de l’équipe de France féminine en finale des JO de Paris face à Team USA (66-67), Leïla Lacan a avoué ce jeudi, lors de sa reprise à Basket Landes, qu’elle n’était pas encore remise de cette défaite.

La défaite n’est visiblement pas encore passée pour Leïla Lacan. La meneuse a été l’un des visages de cette équipe de France féminine, cette merveilleuse équipe de France qui a joué les yeux dans les yeux avec les États-Unis et qui n’est passée à un rien de les faire tomber. À 20 ans, Leïla Lacan a sans doute (déjà) vécu la plus grande expérience de sa carrière, bien qu’elle n’ait pas digéré de s’incliner à domicile. De retour à Mont-de-Marsan, où elle prépare la nouvelle saison avec son club de Basket Landes, la jeune meneuse a évoqué cette rencontre et ses larmes à l’issue du match. Des larmes qu’elle n’a pas encore réussi à essuyer.

« Cette défaite d’un point est encore amère. Elle n’est pas tout à fait digérée mais ça va finir par passer », a-t-elle indiqué au journal Sud Ouest.

Originaire d’Onet-le-Château (Aveyron), Leïla Lacan avait également assuré au micro de Centre Presse qu’elle et ses coéquipières avaient tout donné.

« On espérait gagner. On n’est passées pas loin ! Cela s’est joué à pas grand-chose, il y avait match. On n’est pas allées à ce match en se disant qu’on allait perdre parce que c’était les États-Unis en face ou je ne sais quoi. Du coup, contente au final du résultat car c’est quand même une médaille olympique, mais aussi déçue et prête à repartir au travail pour faire mieux. »

Quand on voit comment les joueuses de Jean-Aimé Toupane perdent, on peut comprendre la tristesse et la frustration. Passer si proche d’un exploit retentissant, cela n’arrivera peut-être qu’une fois dans une carrière, mais pour Leïla Lacan, cette défaite a visiblement réveillé quelque chose. Elle reviendra plus forte avec ses coéquipières. Rendez-vous dans quatre ans pour écrire l’histoire ?

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