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Le résumé de la nuit des français en NBA : Alex Sarr performe

Source photo : Trevor Ruszkowski-Imagn Images

NBA – Encore une nuit NBA où les tricolores ont prouvé qu’ils n’étaient pas là pour chauffer les bancs ou servir des cafés. De Gobert à Sarr en passant par Risacher, la French Touch continue de se faire respecter sur les parquets américains. Les Français se sont justement offerts une soirée bien remplie, et franchement, il y avait un peu de tout : du contre, du rebond, de la ficelle longue distance, et même une grosse performance.

Tidjane Salaün profite de son temps de jeu dans la fin de saison tankée des Hornets avec 13 points, 9 rebonds et 3 passes, le tout saupoudré d’un 3/7 à trois points. Moussa Diabaté a été d’une propreté clinique avec 10 points à 5/6 au tir, pendant que Zaccharie Risacher s’est contenté de quelques shoots longue distance dans une défaite, avec 8 points et 2/3 à trois points. Rudy Gobert, a, lui, sorti un petit 6 points, 9 rebonds à 75 % au tir, dans un choke monumental où les Wolves menaient de 24 points à 10 minutes de la fin et se sont pris un run de 34 à 3 dans les dents… celle-là faut l’assumer sans trembler du menton. Nicolas Batum, toujours fidèle au poste, a rentré ses 3 tirs à trois points pour 9 unités dans une victoire sérieuse des Clippers.

Mais la sensation frenchie de la nuit, c’est bien Alexandre Sarr, qui continue son excellente fin de saison, malgré la défaite face aux Pacers. 20 points, 12 rebonds, 6 passes et 3 contres : une feuille de stats digne d’un rookie de l’année, et une nouvelle preuve que le jeune géant est en train de s’installer sérieusement dans le paysage NBA. À seulement 19 ans, Sarr multiplie les sorties solides, montre une belle polyvalence, et est même devenu récemment le plus jeune pivot de l’histoire NBA à atteindre 100 trois points en carrière.

Avec des performances pareilles, difficile de ne pas rêver à une équipe de France façon “NBA All-French Team” dès cet été. Mais en attendant, ces nuits pleines de promesses sont autant de rappels que le vivier bleu-blanc-rouge n’a jamais été aussi profond. La relève est là, elle s’exprime fort, et elle n’a visiblement pas peur de briller. La NBA parle de plus en plus français, et ce n’est pas seulement grâce à Wemby.

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