Connect with us

Actualités

Kevin Durant écoeure les Knicks dans le derby new-yorkais : 53 pions, du trashtalk, le tout sous les beaux yeux de Kyrie

Nets-Knicks. Voilà une confrontation que l’on attendait impatiemment en début d’année et qui oppose finalement deux équipes plus proches de la deuxième partie de la conférence Est. On a quand même eu le droit à un grand match et on pouvait compter sur Kevin Durant pour qui la plaisanterie a assez duré.

Début du match, les Nets n’ont pas le temps. 9-0 d’entrée pour montrer qui est le king de New-York avec des Knicks qui n’ont pas encore digéré le poulet frites du dimanche midi. Défensivement aux abonnés absents, contre l’équipe de Kevin Durant, tu le payes cash. Evan Fournier va relancer la machine pour la grosse pomme. Auteur d’un très bon premier quart, il va ouvrir la porte à Julius Randle puis à RJ Barrett qui porteront l’équipe offensivement à partir du deuxième quart-temps. Les défenses se solidifient d’ailleurs à partir de ce moment là.

Si on connait les soucis des Knicks, les Nets souffrent clairement des absences combinées de Kyrie Irving et Seth Curry (blessé avant la rencontre). Uncle Drew est d’ailleurs l’attraction de ce match : il a acheté sa place au Barclays Center pour voir ses petits copains, pour finalement venir deux minutes avant la mi-temps et se balader dans le stade et dans le vestiaire. Sans ses shooteurs, Brooklyn peine quand Durant n’est pas là. Ils ont de la chance, le type est déjà à 27 points à la pause, seul un contre de Mitchell Robinson est venu le surprendre. Le score reste serré avant la pause : l’agressivité et l’envie des Knicks compensent le génie naturel de KD et aussi l’impact de DD Drummond à ne pas oublier dans ce premier acte.

De retour des vestiaires, Kevin Durant continue son show. Bruce Brown, Goran Dragic montrent quelques beaux mouvements mais c’est bien Durantula qui porte l’équipe au scoring de manière phénoménale. Rien n’y personne ne lui résiste. Les Knicks ne lâchent pas la veste des Nets pour autant. Mené par un trio Barrett-Randle-Fournier (24, 26 et 25 points), NY continue de coller au score. Le troisième quart-temps s’écoule, puis le quatrième… et nous voilà dans le moneytime avec un score hyper serré. Et évidemment, c’est KD qui poursuit son orgie offensive. Personne ne peut l’arrêter : trop long pour les arrières, trop rapide pour les intérieurs, comme le sentiment que chacun de ses tirs fait filoche, bref vous connaissez déjà Kevin Durant. On se mouille encore une fois la nuque avant de lire la feuille de stats : 53 points, 19/37, 9 passes décisives, 6 rebonds, 2 interceptions.

(insérer résumé Kevin Durant = meilleur attaquant n°5207). Oui, on sait de quoi il est capable et pourtant on ne se lasse jamais d’être impressionné de sa facilité à scorer sans limite à faire gagner des matchs à son équipe. Sans Kyrie et sans Curry, il a dû faire tout quasiment tout seul pour faire gagner les Nets … et bah ça a pas l’air si compliqué quand on le voit.

3 Comments

3 Comments

  1. Pingback: Kevin Durant trashtalk Evan Fournier, et en français s'il vous plaît

  2. Pingback: Kevin Durant se fout d'Evan Fournier en français : le manque de respect est total

  3. Pingback: L'interception clutch de Bruce Brown pour faire gagner les Nets : le pauvre Evan Fournier ne l'a pas vu venir

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

Nouvelle superstar d’ESPN, l’histoire incroyable de Malika Andrews

L’incident d’une vie : Marcus Smart a failli se faire fumer par un gangster des Bloods

More in Actualités