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« Je suis fier de l’appeler mon ami » : Chet Holmgren célèbre un Shai Gilgeous-Alexander historique

NBA – Chet Holmgren n’a pas attendu l’été pour dégainer un hommage aussi classe que sincère. OKC a conquis le titre mais entre les confettis et les trophées, il y a ce genre de déclaration qui vaut presque plus qu’une bague. Le pivot aux bras de gorgone et à la langue affûtée a pris le micro pour dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas. Shai Gilgeous-Alexander n’est pas juste un MVP, c’est une légende qui coche les cases humaines avec le même calme qu’un pull-up ligne de fond.

Chet Holmgren n’a pas fait que grandir aux côtés de Shai Gilgeous-Alexander cette saison, il a appris à gagner. Il a vu le meneur d’OKC faire de chaque match une masterclass, sans jamais tirer la couverture. Le cyborg est impressionné mais surtout touché par l’attitude de son leader. Une saison record, certes mais surtout une saison partagée. 

« Il ne s’agit jamais de lui. Il s’agit toujours de nous. Il s’agit toujours de gagner. […] Je suis fier de l’appeler mon coéquipier, fier de l’appeler mon ami. »

Et à la fin, c’est peut-être ça le vrai switch entre une grande équipe et une équipe championne.

Là où certains MVP te parlent en “je” et finissent leurs phrases en stat-line, Shai Gilgeous-Alexander parle en “nous” et termine en victoire. Chet Holmgren, qui sort d’une saison monstrueuse à titre perso (défensivement, il a redéfini le mot “protection”), sait à quel point le collectif d’OKC fonctionne grâce à l’exemple de son leader. Un meneur qui brille sans brûler ses coéquipiers. Une franchise qui respire ensemble. Une alchimie rare, que Chet Holmgren a capté dès le premier shoot en training camp.

Pas besoin de surnom à la mode, de clips TikTok ou de ligne de vêtements commune. Chet Holmgren et Shai Gilgeous-Alexander, c’est la version 2025 du respect, du taf, et de l’impact. Le Thunder a gagné le titre mais il a surtout installé une dynamique de culture. Celle où la hype ne dépasse jamais l’humilité. Et visiblement, Chet Homgren ne serait pas contre remettre ça l’an prochain. Avec le même mec à la mène, évidemment.

Entre l’araignée aux bras tentaculaires et le Canadien à la sérénité bouddhiste, OKC a peut-être trouvé son nouveau duo magique. L’un t’envoie au contre, l’autre te regarde avec bienveillance pendant que tu cries “and one” dans le vide. Et au milieu, une équipe qui n’a pas fini de casser la NBA. Shai président. Chet vice-président. Et la NBA est déjà en sueur.

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