Connect with us

Actualités

James Harden prolonge aux Clippers pour 81,5 millions

NBA – James Harden a rasé sa player option mais garde intacte sa quête de bague en rempilant à Los Angeles. À 35 ans, le Barbu continue l’aventure avec les Clippers pour deux années et 81,5 millions de dollars. Entre contrat optimisé et barbe toujours bien fournie, James Harden montre qu’il a encore les crocs. Et tant pis pour ceux qui pensaient le voir tirer sa révérence. Le titre est toujours en ligne de mire. 

Plutôt que d’activer son année optionnelle à 36,3 millions, James Harden a préféré signer un nouveau deal bien plus juteux aux Clippers. 81,5 millions sur deux ans, avec une première année garantie et une seconde partiellement couverte. Un contrat version 1+1, lui permettant potentiellement de redevenir free agent à l’été 2026. Une stratégie rodée, mais qui reflète aussi une certaine ambition. Celle de s’inscrire dans la durée aux côtés de Kawhi Leonard (si ce dernier tient debout), dans une franchise encore en quête de son premier titre NBA.

Il n’avait pas autant scoré depuis quatre ans. Redevenu All-Star, James Harden a profité des pépins physiques de Kawhi Leonard et du départ de Paul George pour redevenir la première option offensive d’un effectif en transition. Avec 22,8 points et 8,7 passes en 79 matchs, son plus gros total de matchs joués depuis 2017, le meneur barbu a porté les Clippers jusqu’à la 5e place de l’Ouest. S’il n’a pas empêché l’élimination face à Denver au premier tour, il a envoyé un signal. Il en a encore sous le capot.

Malgré ses 35 printemps, James Harden ne ralentit pas. Son choix de rester dans la Cité des Anges n’est pas anodin. Il veut construire, stabiliser et tenter de boucler sa carrière avec une bague à son doigt plutôt qu’à ses souvenirs. En tablant sur la continuité du “noyau dur” (Harden–Leonard–Zubac ?), les Clippers affichent clairement leurs intentions. Et si la santé suit, ils seront une menace crédible à l’Ouest.

James Harden n’a pas quitté Los Angeles. Et vu son salaire, il ne devrait pas non plus rater l’entraînement. Prolongé, motivé, affûté (au moins financièrement), le MVP 2018 ne veut pas qu’on se souvienne de lui comme d’un génie sans couronne. Alors il reste. Et si L.A. finit par triompher, on pourra dire qu’il avait le flair. Ou juste qu’il était enfin bien entouré.

« Je pensais que j’étais fini » : Nicolas Batum revient sur la dépression qui a failli tout arrêter

Click to comment

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur la façon dont les données de vos commentaires sont traitées.

Nouvelle superstar d’ESPN, l’histoire incroyable de Malika Andrews







More in Actualités