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Evan Fournier raconte ses débuts galères avec les médias ricains, les pièges et leur évolution : « En vrai je pense qu’ils ne me comprenaient même pas »

Invité sur canal +, Evan Fournier a été prié d’évoquer de la presse, un exercice vraiment difficile au sein de la NBA. Le français avoue même que lors de ses débuts, c’était l’enfer car il ne parlait pas un mot d’anglais. Aujourd’hui, il maîtrise cet art comme tout vétéran qui se respecte, même lors des questions pièges.

Il n’y a sans doute aucun média plus présent, que ceux de NBA. Il faut savoir qu’avant la crise du covid, ils étaient carrément présents dans le vestiaire, symbole de leur omniprésence. Avec un match quasi tous les deux jours, les entraînements, les médias nationaux, les joueurs n’ont pas beaucoup de repos. Cela change énormément de ce que le numéro 10 des Knicks avait connu à Poitiers, quand il y évoluait en Pro A. Petit souci et pas des moindres pour Evan Fournier, il ne parlait pas bien anglais quand les Nuggets de Denver l’ont drafté, ce fut parfois difficile et a fallu un temps d’adaptation :

« Au début je parlais même pas anglais, c’était une galère. Sincèrement, je savais même pas ce que je disais, je parlais… En vrai je pense qu’ils ne me comprenaient même pas. donc j’ai bien progressé là-dessus. »

Dans cette interview, il raconte comment Andre Miller et Andre Iguodala ont été de parfaits mentors. En effet, il faut construire une relation de confiance avec les médias car leur relation devient quasi quotidienne comme il l’explique très bien. Gérer ses émotions est important, surtout quand les journalistes attendent de poser la question fâcheuse sur un coéquipier ou pire encore, chercher la bête, il a appris comment faire avec l’expérience : « dire une vérité sans manquer de respect aux gens ». L’international français décrit aussi comment la NBA organise chaque saison, une journée spéciale pour bien rétorquer face aux médias (nommée Média training). Si c’est toujours la même chose au bout de 10 ans de carrière, ce genre de journée peut éviter bien des pièges aux rookies.

Un joueur comme Evan Fournier, c’est du pain béni pour les vrais journalistes. Peut être qu’ils n’auront pas de drama mais un gars sincère et qui est un très bon client. Cette interview en est bien la preuve  !

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