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Eurobasket : Les Bleues grâce à Jannelle Salaün renversent la Turquie dans la douleur

Eurobasket – Ce qui devait être une balade de santé s’est transformé en exercice de survie. Pour leur entrée en lice à l’Euro, les Bleues ont galéré face à une Turquie gonflée à bloc, insolente à 3 points et bien décidée à gâcher la fête. Pas de quoi paniquer ? Peut-être. Mais disons que pour une équipe favorite, c’est un départ version crash-test émotionnel.

Elles pensaient dérouler. Elles ont failli dérailler. Malgré une victoire facile en préparation (81-61), les Bleues se sont fait secouer par une Turquie en feu. Insolente de réussite derrière l’arc et bien plus agressive que prévu. En face, les Françaises empilaient les mauvais choix et les tirs ratés, avec une défense aussi perméable qu’un filet de pêche. Un retard à l’allumage qui a duré 35 minutes. Une impression tenace de déjà-vu pour tous ceux qui ont encore des sueurs froides de l’Euro 2022.

Heureusement, la lumière est venue de Janelle Salaün, fraîchement débarquée de WNBA et déjà en mission commando. 22 points, du culot et l’étincelle dans le marasme. Puis dans le money-time, c’est la capitaine Valériane Ayayi qui a sorti les missiles longue portée. Deux tirs à 3 points cruciaux, envoyés avec le sang-froid d’une vétérane, pour renverser le match et faire taire la menace turque. Cerise sur le parquet. Un tir clutch de Migna Touré pour sécuriser le hold-up. Pas du grand art, mais un finish de patronnes.

Oui, c’était brouillon. Oui, les absences de Marine Johannès, Gabby Williams, Carla Leite ou Dominique Malonga pèsent. Mais une victoire reste une victoire. Et dans une compète aussi intense, l’important c’est d’éviter les pièges dès l’entrée. C’est fait. Maintenant, place à la Grèce pour les Bleues dès jeudi pour tenter de transformer cette frayeur en véritable montée en puissance.

Elles se sont fait peur, on s’est arraché les cheveux, mais au final : 1 match, 1 victoire. Et si les Bleues arrivent à lancer la machine pour de bon, cette entrée bancale pourrait bien ressembler à un mal pour un bien. Allez, on souffle jusqu’à demain soir.

Pour Dominique Malonga, la Draft WNBA n’avait de sens qu’avec sa famille à ses côtés

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