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“C’est déjà écrit” : Tyrese Haliburton défie l’histoire avec 48 minutes pour entrer au panthéon

NBA – Bon bah voilà, fallait pas éteindre Indiana et Tyrese Haliburton trop vite. Au lieu d’un trophée levé et d’un champagne dégoupillé, on se retrouve avec un Game 7. Le genre d’événement qui fait passer la Saint-Valentin ou Noël pour une garden party. Tyrese Haliburton est déjà prêt. Il parle destin, fraternité, mission divine. Le mec cite presque les Évangiles version NBA. Il va peut-être falloir un exorciste à OKC pour sortir les Pacers.

Pas un cri, pas une provocation. Juste un regard droit, une voix posée. Là où certains auraient surfé sur l’euphorie d’un blowout XXL, Tyrese Haliburton a préféré parler calmement, parler vrai. Il sait que ce Game 6 n’a de valeur que s’il est suivi d’un autre chef-d’œuvre. Indiana a certes puni OKC comme jamais, mais maintenant, il reste 48 minutes à jouer. Et ça, Tyrese Haliburton ne l’oublie pas. L’excitation ? Bien sûr qu’elle est là. Mais elle est canalisée. Comme celle d’un soldat la veille du débarquement.

C’est toute la beauté (et la folie) de ce que dit Tyrese Haliburton

« C’est déjà ecrit… Ce qui est arrivé aujourd’hui ne compte plus. » 

Il vient de pulvériser le Thunder avec ses gars mais son cerveau est déjà passé à la prochaine page. Game 7, le sommet, le col de l’âme. Là où tout s’oublie et tout se grave.

Et cette lucidité mentale, ce n’est pas qu’un discours de sportif médiatrainé. C’est un cap que Tyrese Haliburton s’impose, malgré sa blessure persistante. Même diminué physiquement, il pense collectif. 

« Il n’y a personne avec qui je préférerais aller au combat qu’avec ces gars. »

C’est beau, non ? Un peu comme si Aragorn préparait ses troupes avant le Gouffre de Helm. Ou une dernière réunion de gang avant le casse du siècle.

À ce niveau-là, on ne parle plus d’un simple match. C’est du mythe en construction. Et Tyrese Haliburton le sent. Il ne joue pas juste pour sa carrière, ni même pour Indiana. Il joue pour marquer une époque. Ce Game 7 peut faire basculer sa vie dans une autre dimension. Celle des mecs qu’on cite dans les livres, dans les documentaires, dans les vidéos YouTube “comment il a tout changé ce soir-là”. Et franchement, vu l’état d’OKC après le Game 6, ils auraient bien besoin d’une psychologue, d’un kiné et peut-être d’un exorcisme. Parce qu’en face, Tyrese Haliburton et Pascal Siakam ne jouent plus au basket. Ils invoquent quelque chose.

Tyrese Haliburton ne promet pas de miracle. Il promet un combat. Avec des gars qu’il aime, pour une cause qu’il sent déjà écrite. Ça fait un peu peur mais aussi très envie. Allez, on éteint tout dimanche soir. Plus de distractions. Game 7. Une vie entière en 48 minutes.

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