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Bradley Beal bientôt coupé ? Les Suns rêvent d’un divorce à l’amiable

NBA – Visiblement, la rupture entre Bradley Beal et les Suns n’est plus un si mais un quand. Oui, on parle bien du même Bradley Beal avec une clause no-trade en béton armé. Un contrat de 111 plaques et un impact collectif proche de celui d’un cône de chantier. Let’s go pour un possible buyout XXL.

Bradley Beal et les Suns discuteraient enfin d’une séparation. Oui, après une saison aussi enthousiasmante qu’un lundi matin sous la pluie, les deux camps semblent prêts à tourner la page. Problème : Bradley Beal ne peut pas être échangé sans son feu vert (merci la clause no-trade), et le couper coûte cher. Très cher. Les Suns devraient lui verser ses 111 millions restants, sauf si il accepte de laisser quelques millions sur la table. Pas gagné, mais pas impossible, surtout si ça lui permet de fuir l’Arizona.

Sur le marché, un arrière qui plante 17 points de moyenne à 50% au tir et 38% à 3-points, même avec un historique médical aussi douteux qu’un site de streaming de Ligue 1, ça intéresse du monde. Warriors, Bucks, Heat, Lakers… tout ce beau monde garde un œil attentif sur le dossier, en cas de buyout. Bradley Beal pourrait signer à bas coût dans une équipe qui joue le titre. L’élève Beal, pas vraiment studieux à Phoenix, pourrait devenir un parfait sixième homme dans un contender.

Les fans de Phoenix espèrent ce buyout comme on attend la fin de Koh-Lanta. Avec de l’angoisse, un peu de honte, et beaucoup d’espoir. Si Bradley Beal accepte de renoncer à au moins 14 millions, les Suns pourraient enfin sortir de cette impasse financière. Le genre de soulagement que même Kevin Durant a dû ressentir. On parle quand même d’un joueur qui bloque leur flexibilité, leur cap… et leur patience.

S’il accepte de lâcher quelques billets, Bradley Beal pourra se refaire une image ailleurs. Et les Suns, eux, pourront enfin respirer sans être écrasés par un contrat aussi indigeste qu’un grec-frites à 3h du mat’. Prochaine étape ? L’ultimatum final, ou la saison de trop.

Rudy Gobert continue d’écrire son nom dans les livres d’histoire de la NBA



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