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Après la victoire des Warriors, Draymond Green s’est lâché en conférence de presse

Crédit : Troy Taormina-Imagn Images

NBA – Dimanche soir, les Golden State Warriors ont une nouvelle fois brisé les rêves des Rockets en s’imposant 103-89 lors du Game 7, validant leur ticket pour les demi-finales de conférence. Mais au-delà du score, c’est Draymond Green qui a, comme souvent, capté la lumière avec un mélange savoureux de mea culpa sincère et de trash talk bien senti.

« J’ai bien trop boudé lors du dernier match. Du coup, j’ai passé les deux derniers jours embarrassé, juste en repensant à ce que j’avais donné sur le parquet, à ce que j’avais montré au monde. Depuis la fin du match 6, je meurs d’envie de revenir sur le terrain pour prouver qui je suis vraiment. »

Après une performance frustrante lors du Game 6, où il avait écopé d’une faute flagrante pour avoir frappé Jalen Green et passé son temps à contester les décisions arbitrales, Draymond a reconnu avoir été « embarrassé » par son attitude. Il a déclaré : « J’ai bien trop boudé lors du dernier match. J’étais pressé de revenir sur le terrwarrirain pour montrer qui je suis vraiment ». Et il l’a fait : 16 points, 6 rebonds, 5 passes, 2 contres, 1 interception. Une performance ultra précieuse et une présence étouffante qui a mis Houston sous cloche.

« C’est toujours un kiff de gagner dans ici (à Houston), et dans cette salle en particulier. J’ai vu que Fred(VanVleet) avait lâché un commentaire plus tôt dans la série : « ce n’est pas la même équipe. » Peut-être… mais c’est toujours la même organisation. »

Mais Draymond ne serait pas Draymond sans un peu de trashtalk, même post win. En conférence de presse, il a répondu à une déclaration de Fred VanVleet, qui avait affirmé plus tôt dans la série que cette équipe des Rockets n’était pas la même que par le passé. Réponse de Dédé : « Ce n’est peut-être pas la même équipe, mais c’est toujours la même organisation ». Une manière élégante de rappeler que, peu importe les visages, Houston reste une proie familière pour Golden State.

Entre introspection sincère et provocation assumée, Draymond Green continue d’incarner l’âme des Warriors. Capable de se remettre en question tout en dominant ses adversaires, il prouve qu’il est bien plus qu’un simple agitateur. C’est un leader, un compétiteur, et surtout, un showman dont la NBA ne saurait se passer.

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