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Bronny James joue contre son propre corps pour une place en NBA

NBA – Bronny James n’a pas été drafté pour faire joli sur les photos de famille. Enfin, pas que. Deux ans après un arrêt cardiaque brutal sur les terrains de USC, le fiston de LeBron tente de construire son propre nom en NBA. Et s’il espère un jour faire taire les critiques, il devra d’abord se battre contre un adversaire invisible : son propre corps. Parce qu’à ce niveau-là, ton nom ne t’aide pas à suivre le rythme.

Le cœur est reparti, mais les traces sont restées et Bronny James l’a récemment confié. Son système immunitaire a pris un coup depuis son arrêt cardiaque. 

“Je tombe malade plus facilement maintenant. Parfois je suis obligé de me reposer, et en une semaine je perds toute la condition physique sur laquelle j’ai bossé.” 

Résultat, des absences, comme avant la Summer League, où il a manqué une semaine entière d’entraînement. Et dans une ligue où le rythme est infernal et la moindre opportunité se mérite, ce genre de contretemps peut coûter bien plus qu’un workout.

Chez les Lakers, on n’a pas signé Bronny James pour le folklore. Et J.J. Redick, rookie coach mais pas rookie exigeant, a été clair. Pour entrer dans la rotation, il faudra être élite physiquement. Pas juste en forme. Élite. Il veut un profil à la T.J. McConnell, à la Davion Mitchell. Des mecs qui brûlent d’intensité et qui dérangent tout ce qui bouge. Pour l’instant, Bronny James montre « des flashs », mais rien de constant. Et sans un cardio béton, il restera sur le banc à les regarder.

Le hic, c’est que les Lakers peuvent couper court dès la saison prochaine. Bronny James a certes signé pour 4 ans, mais rien n’est garanti. La G-League l’a rodé au Spain Pick & Roll, aux lectures défensives. Mais le temps commence déjà à manquer. Il n’a que 20 ans, mais dans une NBA sans patience, l’étiquette de « fils de » ne tiendra pas éternellement. Ce n’est plus une question de nom, mais de niveau. Et ce niveau dépend d’un corps qui, pour l’instant, joue contre lui.

Bronny James voulait faire son trou. Pour l’instant, c’est surtout son système immunitaire qui s’est creusé. Le rêve NBA continue, mais entre les rhumes mal placés, les flashs sporadiques, un 46 de général dans NBA2K26 et une pression qui ne faiblit jamais, le compte à rebours est lancé. S’il veut survivre dans cette ligue, il devra courir plus vite que ses pépins. Et transpirer bien plus que son nom.

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