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Steve Kerr n’aime pas vraiment se remémorer la saison 2016

Source photo : Complex

La saison 2015-2016 restera à jamais dans l’histoire de la NBA. La retraite de Kobe Bryant, la déchéance du Thunder à cause de Killa Klay, les finales de Cleveland et bien entendu la saison régulière de Golden State.

Pour se remémorer à quel point les Dubs furent injouables durant cet exercice, il n’y a qu’à se souvenir leur début de calendrier. 24 victoires de suite pour entamer la saison avec deux victoires en overtime, avant que Milwaukee ne les stoppe. Stephen Curry sera bien entendu MVP, connu en tant que seul most valuable player unanime de l’histoire : 30.1 points, 5.4 rebonds, 6.7 passes. 50.4% au shoot et 45.4% à 3 points. Il ne faut pas oublier tous ses petits copains Draymond Green, Klay Thompson, Andre Iguodala, Harrison Barnes et un Steve Kerr à la baguette. Malheureusement, sans titre, la saison fut gâchée par les énormes baloches de Kyrie Irving et le cyborg parfait, Lebron James. Steve Kerr s’est confié à l’émission Damon, Ratto et Kolsky show :

« Je sais que les gars en étaient fiers, mais nous ne l’avons pas validé[la saison] avec un titre. En conséquence, nous avons juste une petite bannière dans notre centre d’entraînement pour la célébrer. C’est comme ça que ça devrait être, je pense. Nous pouvons regarder en arrière et nous souvenir d’une excellente saison, mais nous n’avons pas réussi tout le job. Donc ça perd définitivement un peu de son éclat. »

Oublier la saison ? Clairement pas. Mais il n’est pas question de déclarer que cette saison était une réussite. Ce fut une belle saison mais pas une saison parfaite. Steve Kerr a sans doute été déçu de lui même et peut-être s’en veut-il d’avoir tiré sur la corde physiquement. C’est comme ça qu’il a pu apprendre de ses erreurs et durant la saison suivante, même sans les 72 victoires (67), il a coaché une meilleure équipe et hormis celle de Kobe et Shaq, sans oublier les Bulls de Michael Jordan, aucune ne peut les regarder dans le blanc des yeux. Un exercice plus que solide et des playoffs destructeurs, pour une seule petite défaite (contre Cleveland lors du money-time).

Chaque champion a ses moments cocasses, c’est en échouant qu’on devient plus fort. Steve Kerr l’a appris à ses dépends mais en réalisant un back to back par la suite, la réponse ne pouvait pas être plus parfaite.

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