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Stephen Curry raconte la naissance de sa désormais mythique routine d’avant match

Fan NBA ou pas, tout le monde connait la routine la plus connue du monde du sport. Les fameux dribbles de Stephen Curry, ses shoots et sa bombe du tunnel qui font partie du personnage. Retour à ses plus jeunes années, l’année de naissance de ce fameux train train !

Stephen Curry est bien entendu connu pour son statut de meilleur shooteur du monde mais il l’est aussi pour autre chose. Sa routine pre-game est connu de tous. Cette partie de son « jeu » est tellement ancré en lui que les fans visiteurs viennent exprès en avance pour voir comment il s’y prend. À la fois intense et concentré, Stephen Curry donne tout pendant son warmup pour le plus grand plaisir des fans. Et si on vous dit que le meneur n’arrivait pas à dribbler des deux mains parfaitement à ses débuts NBA, vous nous croyez ? C’était pourtant bien le cas. Retour sur un phénomène pas comme les autres mais ça vaut bien une petite réaction du meneur de jeu avant de début cette histoire un peu folle :

« J’ai commencé à vraiment remarquer des salles plus pleines au milieu de la saison 2016, je ne savais pas quoi en penser au début. C’était étrange mais j’étais en même temps reconnaissant.

C’est complètement fou. » Stephen Curry sur ESPN

Dwyane Wade racontait en 2001 qu’il était venu voir Vince Carter, à cause de sa fameuse routine « dunks », Stephen Curry est fait du même bois. Imaginez quand même, plus de 100 fans, de longues minutes avant le match, s’amassant devant le fils de Dell Curry, ça en dit long sur la hype de cette routine. C’en est arrivé à un point que lorsqu’il ratait un dribble ici ou là, c’était de mauvais présage pour le match à venir. Parfois, le MVP 2016 avoue qu’il est un peu trop ambiancé par le public qui le dévisage et Baby Face tente de se calmer par lui même. Luke Walton assistant des Warriors en milieu des années 2010, qualifiait ce moment d’avant match de complètement dingue, n’ayant jamais vu ça auparavant dans la ligue. Lui qui a pourtant connu des lascars tels que Kobe, Lebron ou encore Iverson. Son fameux rituel commence par un bon petit sprint du tunnel, comme il aime les faire avant les matchs. C’est à partir de ce moment qu’on entend souvent les cris des fans. L’assistant coach Bruce Fraser prend ensuite la relève et s’occupe personnellement de Steph.

« Quand j’en ai fini [avec ma routine], je fais un petit signe au public ou un truc comme ça car il ne faut pas prendre ce soutien comme acquis. »

À travers les années, ce fameux rituel de la part de Stephen Curry a évolué. Quand il était 1ère année au sein de la grande ligue, Stephen Silas s’occupait de lui (désormais coach à Houston). Il ne maîtrisait pas encore le dribble comme aujourd’hui, ce qui parait ironique, cela ressemble à un don inné quand on l’observe :

« Je me souviens quand c’était tout nouveau pour lui et que son ballon touchait le pied, il le perdait. Parfois, il avait des problèmes d’alternance entre les deux mains. Ce n’était pas une seconde nature pour lui comme c’est le cas maintenant, mais c’est tout à son honneur et ça montre à quel point il a travaillé dur. Il est l’un des meilleurs manieurs de balle du monde. Un des meilleurs de la ligue, si ce n’est le meilleur. Il a tellement confiance en son jeu. Ces exercices n’ont probablement pas cimenté cela, mais ça n’a certainement pas fait de mal. »

La routine de Stephen Curry est devenue si populaire que ses coéquipiers s’y sont mis, à l’instar de Shaun Livingston avant de prendre sa retraite. Il alterne tous types de dribble, avec les deux ballons et dans tous les sens possibles. Les exercices défilent et les fans veulent la prochaine phase du rituel : le shoot. Les swishs s’enchaînent encore et encore et encore et encore (et encore). On se croirait en plein match car l’ambiance surchauffe et ferait pâlir la State Farm Arena d’Atlanta dans une rencontre de playoffs. Le papa de Canon Curry l’avoue lui même : « J’ai l’impression d’être en match parfois. » Le triple champion doit ainsi mettre 15 shoots sur différents spots, allant du deux points aux trois points. Au total, sa routine dure 90 minutes.

S’en suit pour terminer le boss final, celui que tout le monde attend : le shoot du tunnel. L’homme est bon car il connait toute l’équipe, le staff et même les salariés. Il demande à son agent de sécurité préféré Curtis Jones de lui donner le ballon, ce qu’il fera pendant 5 ans de suite pendant les matchs à domicile. Ce dernier adore faire partie de tout ce truc comme il aime l’appeler et apprécie le talent générationnel qu’est Stephen Curry. Tellement fou dans sa tête, il prend un ballon dans le rack et lâche parfois à ESPN : « Ah non ce ballon est trop vieux. Ce ballon est trop neuf. » Il peut tenter sa chance jusqu’à 5 tentatives. La légende des Warriors s’en va ensuite signer des autographes et rentrer au vestiaire…

Maman Stephen Curry a bougé le cul à un Steph de 13 ans, qui voulait tout abandonner après avoir été moqué par les meilleurs espoirs du pays

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