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Quand Dwyane Wade se mettait une pression monstre pour satisfaire Miami et Pat Riley

Source photo : 5 Majeur

Bienvenue sur la nouvelle chronique #B2B, elle aura pour but de faire traverser le temps. Chaque fan qui se respecte vit son époque et on s’est dit que c’était une bonne chose de faire partager nos archives gardées au chaud. Aujourd’hui c’est au tour de Dwyane Wade « rookie » de se confier.

Et oui, certains gardent leurs magazines car à l’époque, c’est le seul moyen de se tenir au courant des informations NBA, outre sur canal +. Il faut savoir que Dwyane Wade n’est pas au niveau de Carmelo Anthony ou Lebron James lors des premiers mois de compétition. Physique au possible, mauvais shooteur mais bon slasher beaucoup d’analystes ne voient pas de potentiel en lui, surtout que son poste n’est pas prédéfini. Il avoue d’emblé que c’est son plus gros point faible lors de son année rookie. Les Raptors avaient hésité à le prendre. Rafer Alston était leur meneur et les dinos voulaient trouver un joueur plus complémentaire à Vince Carter, c’est ainsi qu’ils se sont dirigés vers Chris Bosh. Le magazine 5 majeur avait publié à l’époque sur le sujet :

« Au début de saison, j’ai dû faire énormément d’ajustement à mon jeu car je changeais de position. Je suis plus un combo guard qu’un meneur de jeu. Mais j’en fais lors de mes premières rencontres, du coup, je me suis dit de jouer comme je savais le faire. » Dwyane Wade

Le reste appartient à l’histoire. Flash joue un super basket, sélectionné au rookie game (appelé comme ça à l’époque) puis en All-Rookie team, il performe contre Baron Davis en playoffs, top meneur à l’époque, le numéro 3 de Miami fait de même face à Ron Artest, le meilleur défenseur de l’année. Tous les joueurs de cette draft n’auront pas la carrière de Lebron James mais pendant plusieurs années consécutives, les Chris Kaman, Kirk Hinrich, T.J Ford, Mickael Pietrus, Jarvis Hayes, Nick Collison ou encore Boris Diaw feront plus que de la figuration :

« Je travaille dur pour répondre aux attentes de Miami qui ne m’a pas drafté en 5ème position pour rien. Je dois leur rendre la confiance que les dirigeants m’ont accordée.

C’est une des meilleures cuvées de ces 10 dernières années, si ce n’est la meilleure. Outre James et Anthony qui réalisent exploits sur exploits, des joueurs comme Chris Bosh ou TJ Ford montrent de belles qualités. Je parle beaucoup avec eux de leurs expériences, c’est enrichissant. »

On espère que cette chronique vous plaira, déjà pour en apprendre sur vos joueurs préférés mais aussi de voir leur état d’esprit à l’époque, bien loin de leur assurance d’aujourd’hui.

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