NBA DPOY, les trois finalistes : Marcus Smart, Rudy Gobert et Mikal Bridges !

Source photo : NBC Sports

Les trophées NBA ne seront remis que dans quelques temps, mais à l’occasion du premier weekend des playoffs, la ligue a donné le nom de trois finalistes qui sont candidats pour remporter un titre. Et on enchaine par le DPOY.

C’est assurément le trophée où beaucoup de noms sont ressortis pour être parmi les trois derniers finalistes. Si Jaren Jackson Jr ou Bam Adebayo sont passés à la trappe, c’est parce que la ligue a retenu les noms de Marcus Smart, Rudy Gobert et Mikal Bridges. Et il n’y a aucun scandale. 

Marcus Smart est le premier candidat, et la tendance se porte sur le combo-guard des Celtics puisqu’il reçoit beaucoup de soutien chez les fans/joueurs/coachs. Ame et premier rideau défensif de son équipe, Marcus Smart a notamment permis à son équipe d’être la meilleure défense de ligue.

Rudy Gobert est le deuxième candidat, et il peut rejoindre des légendes de la NBA tels que Ben Wallace et Dikembe Mutombo avec un potentiel quatrième titre de meilleur défenseur de l’année. Quelques rencontres loupées, une défense collective moins bonne que les dernières saisons…mais c’est en grande partie parce que le français était absent en janvier ! 

Mikal Bridges est le dernier candidat, et c’est sans doute le joueur le moins reconnu des trois. L’ailier des Suns a bien participé à la domination totale de son équipe, en étant le meilleur défenseur de Phoenix. Sur l’homme, dans les aides, en un contre un, en transition, l’iron man a tout simplement la panoplie complète du défenseur.

La course au titre de défenseur de l’année est très serrée et cette saison, aucun candidat n’est vraiment au dessus de l’autre. Marcus Smart, Rudy Gobert, Mikal Bridges : quel est votre choix ?

The 2021-22 Finalists for KIA NBA Defensive Player of the Year #KiaDPOY@mikal_bridges of the @Suns @rudygobert27 of the @utahjazz @smart_MS3 of the @celtics pic.twitter.com/ikFPN5Zk0r

— NBA (@NBA) April 18, 2022

La séquence vintage du jour : quand un Victor Wembanyama de 16 ans arrivait à mettre quelques shoots sur Rudy Gobert