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Analyses

Lonzo Ball apprend ce qu’est un money-time à John Wall : c’est qui le rookie maintenant ?

Source photo : youtube.com
Il y a eu plus de blabla qu’autre chose car dans le contenu, le match était assez passable. Merci John, maintenant Lavar va parler encore plus qu’il ne le fait déjà.

La hype c’est quelque chose ! A peine les deux équipes sur le terrain, l’arbitre donne le coup d’envoi et on se croit en playoffs avec une foule en délire. Lors du premier « choc » entre Lonzo et John, Ball arrive à lui chiper le ballon. Le public s’enflamme mais ne vous inquiétez pas, Wall répond superbement en lui cassant le rein lors de l’action suivante.

Vous venez sans doute de lire le moment le plus excitant du match car John Wall n’a pas été bon du tout. Il s’est souvent frotté à Julius Randle et ce dernier lui a bien fait du mal. Il va rater 11 de ses 12 derniers shoots et ça nous rappelle forcément un certain match 7 face à Boston… Peut être qu’il prenait le match trop à cœur mais avec son statut, c’est une très vilaine prestation qu’il nous a offert. Tu ne peux pas te laisser submerger par tes émotions et ne faire que des mauvais choix.

Ball ne fait pas du tout le même match. Avec un shoot pris dans la première mi-temps, il laisse le jeu venir à lui. En overtime, ce sera la même chose. Il met un panier crucial mais ce qui fait kiffer, ce sont ces prises décisions. Il trouve Kuzma, Ingram, Calwell-Pope, Kobe, super Mario, peu importe qui, il va le trouver. C’est vraiment un meneur old school et c’est comme ça que les Lakers vont l’emporter. Ses passes font la différence là où un John Wall a peut être trop forcé les choses… Le peut être futur rookie de l’année sera responsable de plus de 80% des paniers de son équipe dans la dernière ligne droite.

Peut être que le papa Ball a trop parlé mais le fiston a répondu présent. Pas besoin de scorer pour être influent. Il n’a pas parlé, il aime le jeu, il lui montre du respect et pas d’arrogance. Par contre pour Gortat et ses potes, c’est toujours la même erreur. Pourquoi parler dans le vent ? Une défaite qui va leur faire un mal de crâne terrible !

Côté stats, on retient les 28 points de Beal. Ingram finit en double-double (19 points et 10 rebonds) et malgré sa maladresse, Ball s’en sort bien (6 points, 8 rebonds et 10 passes).

Source photo : ESPN

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