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L’énorme coup de gueule de Rudy Gobert contre les faux durs de la NBA et les arbitres

Rudy Gobert s’est en quelque sorte expliqué sur ce qui s’est passé contre Myles Turner. Il voulait éviter un incident et assume complète ses torts. La frustration était bien là.

On le dit jamais assez, la saison NBA est longue, immensément longue. Hormis le baseball, aucun championnat n’a autant de matchs. Le bonheur, le malheur, les victoires, les défaites, les embrassades, les embrouilles, chaque groupe vit tout ça. Et puis il y a les incidents physiques, comme Rudy Gobert il y a de ça deux nuits. Le pivot français pense être victime d’une faute et tombe au sol. Car il n’aime pas la solitude, Gobert emmène Turner avec lui et ce dernier n’apprécie pas. Commence une pseudo bagarre et la star du Jazz s’explique. Il parle des faux durs mais aussi des arbitres :

« Les arbitres autorisent trop les joueurs à faire des fautes de merde. Je vais jamais me taper sur le terrain. Mais si on me cherche, je suis facile à trouver. On va voir ce qui se passe dorénavant. Les joueurs doivent arrêter de faire comme s’ils voulaient se battre. S’ils veulent plus, alors qu’on le fasse en dehors du terrain, sans sécurité, comme des hommes. Sur le terrain, c’est bien pour les caméras mais on sait qu’en 2 secondes, 20 types de la sécurité vont intervenir. »

Rudy Gobert rajoute que s’il a tenu Myles Turner comme ça, c’était uniquement pour pas qu’il ne fasse des dingueries. On comprend tout à fait le discours de Gobert. 99% des joueurs ne feront jamais rien mais attention, un sale coup peut avoir de sales conséquences. Pire encore, si un nerveux comme Ron Artest est poussé à la frustration, cela peut devenir très dangereux. On le rejoint néanmoins 100% sur un point, les arbitres doivent maîtriser leur sujet et arbitrer durement dès le début. Cela peut dégénérer comme ça a été le cas à Utah. Pour la petite anecdote, le coach de boxe de Rudy était là et c’était la seule fois de l’année.

Un épisode à oublier pour Rudy Gobert. Il faut vite se rencontrer car le Jazz n’est pas au niveau espéré. Peut être que ce coup de sang était nécessaire pour mieux se relever.

Quand Boris Diaw jouait à l’insolent avec son coach : quelques jours plus tard, il était tradé…

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