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Kendrick Perkins raconte son embrouille avec Stephen Curry : l’ancien pivot a sorti les crocs

Les gens ont tendance à l’oublier, mais Kendrick Perkins a joué les Finales NBA en 2018 avec les Cleveland Cavaliers, et s’il n’a pas brillé par ses performances sur le terrain (zéro seconde en 4 matchs), nombreux sont ceux qui se sont rappelé son embrouille avec Steph Curry. Et même 2 ans après, le champion 2008 n’en démord pas : ce n’est pas de sa faute.

Nous sommes le 3 mai 2018 à l’Oracle Arena pour le match 2 des Finales 2018, et les Golden State Warriors se dirigent vers un 2-0, trois jours après el famoso coup de génie de J.R Smith. LeBron a déjà réservé son vol pour Los Angeles, mais ce qu’on retient de ce match, c’est la « bagarre » avec de gros guillemets entre Steph Curry et Kendrick Perkins. Ce qui est reproché à l’ancien Celtic ? Ça.

Sans vouloir commencer un combat stérile, on a clairement affaire à des gamineries, entre Steph Curry en train de reculer sans regarder, et Kendrick Perkins en costard… qui regarde le match et pour le coup n’a littéralement rien fait. Que des broutilles, les deux ont parlé 30 secondes, et Curry a repris son match, planté 33 points, chopé 7 rebonds et filé 8 passes en plus d’emmener à Cleveland une victoire 122-103 et un 2-0 dans la poche. Du passé donc, mais Perkins a tenu à remettre les pendules à l’heure en expliquant l’embrouille sur ESPN.

« Déjà, je ne sais même pas ce que j’ai fait de mal. Je suis assis. Je n’ai pas bougé, je n’ai rien fait. Je suis assis, je me détends, je m’occupe de mes affaires. On se fait battre, il fait son truc.

Il a dit que j’ai essayé de le faire trébucher. J’ai dit : « Frérot, j’ai pas bougé mes jambes. Je n’ai pas sorti ma jambe. J’étais assis de la même façon tout le temps. De quoi tu parles ? » Et j’étais juste comme – vous savez ce que je lui ai dit ? J’ai dit : « Steph, mec. Détends-toi, mec. Pour de vrai, avant que je te fasse sentir mon eau de Cologne.« 

Alors oui, c’est pas l’info de l’année, oui, ce n’est clairement pas Malice at the Palace (c’était la faute de Ben Wallace). Mais Kendrick tenait à donner sa version des faits. Tant mieux pour lui, il avait clairement raison, tant mieux pour Steph, son équipe a gagné, tout le monde est gagnant. Conclusion, la NBA c’est les Bisounours. Ou Animal Crossing, à vous de choisir.

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