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Joel Embiid fataliste sur les Celtics : « ils nous bottent les fesses à chaque fois »

Source photo : USA Today
Pour notre plus grand bonheur, la NBA a repris et l’opening de l’opening night était une confrontation entre les deux favoris de la conférence Est, les Sixers et les Celtics, et comme souvent, ce sont les verts (pas comme au foot) qui ont eu le dernier mot. Pourtant, malgré le trashtalking, il n’y a pas de rivalité entre ces deux équipes selon Joel Embiid. Et s’il n’y a pas de rivalité, c’est parce que les C’s prennent toujours le dessus, toujours selon le pivot. Pas très cohérent comme explication.

Hier soir, avait lieu le très attendu CelticsSixers au TD Garden, un match très attendu du fait de l’excitation de la reprise de la NBA, mais aussi parce que ce sont les deux principaux prétendants aux finales NBA dans la conférence Est. Comme vous le savez, le match s’est soldé, une nouvelle fois, par une victoire de la maison verte. Si ce match marquait surtout le grand retour en compétition officiel de Gordon Hayward, il marquait également un remake du dernier second tour des playoffs, qui s’était ponctué par, une large victoire de Boston.

On peut donc dire, qu’il y a une petite rivalité qui se (re)met doucement en place, une rivalité qui nous fait par ailleurs penser aux gros duels entre Larry Bird et Julius Erving dans les années 80’s. Toutefois, d’après ce bon Joel Embiid, il n’y a pas de rivalité, pour une explication surprenante alors que pourtant de nombreux signent montrent qu’il y a de la haine à chaque fois que les deux équipes se confrontent. Après le match, le pivot nous explique qu’il n’y a pas de rivalité entre les deux équipes à cause…du bilan. Non, sérieux ?

Ce n’est pas une rivalité. Je ne sais pas quel est notre record contre eux. Mais c’est plutôt mauvais. Ils nous bottent les fesses à chaque fois. Donc, ce n’est pas une rivalité.

Certes, les Celtics restent sur 10 victoires consécutives à la maison contre les Sixers, mais ce n’est pas pour autant qu’il n’y a pas de rivalité. D’une part, les fans de Boston et de Philadelphie se chambrent et d’autre part, il y a des signes qui ne trompent pas. En effet, il y a eu tout d’abord du trashtalking entre Joel Embiid et Marcus Morris en playoffs, puis le pivot a eu un début de bagarre avec Terry Rozier, et encore cette nuit, il y a des regards (Tatum, Brown) qui nous confirment cela. 

Donc si l’on suit bien, le Process est le premier à lancer des rivalités, mais dès qu’il perd de n’est pas une rivalité ? Ce n’est pas très cohérent mon cher Joel. De toute façon, le camerounais ferait mieux de se reconcentrer car cela fait plusieurs fois qu’il tombe dans le piège de la défense des C’s. Même s’il signe 23 points et 10 rebonds, il y avait des gestes et des attitudes qui montraient de la frustration de la part de Joel Embiid. Il faut accepter mon vieux ! 

Si d’après 90% de la population, il y a rivalité entre Celtics et Sixers, il n’y a pas rivalité selon Joel Embiid…à cause du record qui est mauvais contre Boston. On veut bien qu’il soit compétiteur le Joel, mais là, c’est un mauvais perdant. Il y a plusieurs faits et gestes qui prouvent qu’il y a une rivalité, et c’est d’ailleurs mieux pour notre sport, pour animer les matchs. Il faut accepter ce nouveau statut de prétendant, et surtout de concurrent principal des Celtics. 

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